Explication de cette citation :
Cette citation de Tristan Bernard reflète le cynisme et l'avidité souvent associés au monde de la finance et des affaires en France. Elle met en lumière la peur de la compétition et l'obsession de préserver son propre succès en limitant celui des autres. Elle peut également être vue comme une critique du capitalisme et de ses valeurs.
Cette citation est tirée de l'oeuvre "Monsieur Codomat" publiée en 1928.
A propos de l'auteur
Qui est Tristan BERNARD ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Tristan Bernard est un écrivain, dramaturge et journaliste français du début du XXème siècle. Avec son style satirique et ses jeux de mots subtils, il a marqué la littérature française et est considéré comme l'un des plus grands humoristes de son temps. Né en 1866, il a mené une vie bien remplie entre son travail d'écrivain et de journaliste, son implication dans le monde du théâtre et sa passion pour le sport et les courses hippiques. Il a laissé derrière lui un héritage littéraire diversifié, comprenant des pièces de théâtre, des romans, des essais et des articles. Dans cette page, nous allons explorer la biographie de Tristan Bernard ainsi que son œuvre riche en citations percutantes et en réflexions profondes. Découvrez en détail la vie et les contributions de cet auteur talentueux à la langue française.
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Cette citation de Tristan BERNARD : Le grand souci des hommes d'affaires français n'est pas de gagner de l'argent, mais d'empêcher les autres d'en gagner
, fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Tristan BERNARD.
- Le fils unique qui se marie perd sa mère et gagne deux belles-mères.
- Un journal coupé en morceaux n'intéresse aucune femme, alors qu'une femme coupée en morceaux intéresse tous les journaux.
- Si le premier acte est vraiment bon, on ne le sait qu'à la fin de la pièce.
- Les hommes de soixante ans, en dehors de moi, me font l'effet d'en avoir soixante-dix.
- Quand on est pris par la passion, il faut essayer de lutter, mais pas trop.
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