Explication de cette citation :
Cette citation de Georges Courteline met en avant l'idée que les pianos, souvent utilisés pour pratiquer la musique mais pouvant également être source de nuisance sonore pour les voisins, devraient être taxés à la fois au profit de l'Etat et de ces derniers. Elle reflète l'humour et l'esprit satirique de l'auteur, célèbre pour ses pièces de théâtre comiques et satiriques mettant en scène les travers de la société bourgeoise de son époque.
Cette citation est extraite de sa pièce de théâtre "Boubouroche" publiée en 1893.
A propos de l'auteur
Qui est Georges Courteline ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Georges Moinaux ou Moineau, dit Georges Courteline, est un romancier et dramaturge français, né le 25 juin 1858 à Tours, mort le 25 juin 1929 à Paris.
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Cette citation de Georges Courteline : Les pianos devraient être frappés de deux impôts : le premier au profit de l'etat, le second au profit des voisins
, fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Georges Courteline.
- Si les juges se mettent à donner gain de cause à tous les gens qui ont raison, on ne sait plus où l'on va.
- Il est plus facile de lever une femme que de la laisser tomber.
- C'est à l'homme de réparer, lorsque ses moyens le lui permettent, les petites injustices du bon dieu.
- Les baisers servent d'entractes aux scènes d'amour, mais il en est qui trouvent les entractes meilleurs que la pièce.
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