Dieu m'a donné du bien, et je me suis donné du superflu.
Explication de cette citation :
Cette citation de Montesquieu peut se comprendre comme une critique de l'avidité et de la cupidité de l'homme. Elle suggère que Dieu a donné à l'homme les ressources nécessaires pour subvenir à ses besoins, mais que l'homme, par sa propre volonté, a tendance à s'approprier davantage que ce dont il a réellement besoin en le qualifiant de "superflu". Cela reflète l'idée de Montesquieu selon laquelle les passions humaines peuvent conduire à des déséquilibres et à des abus de pouvoir.
Cette citation est tirée de son célèbre ouvrage "De l'esprit des lois", publié en 1748, dans lequel il analyse notamment l'influence des lois et des institutions sur la société et l'homme.
A propos de l'auteur
Qui est Montesquieu ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Charles de Secondat, baron de la Brède et de Montesquieu est né le 18 janvier 1698 à La Brède. C'est un penseur politique, un précurseur de la sociologie, un philosophe et un écrivain français.
Notre dictionnaire de citations vous propose plus de 30.000 citations triées par thèmes et par auteurs. Faites ci-dessous une recherche sur un mot clé ou sur une expression entière. Vous pouvez également choisir de consulter nos meilleures citations classées grâce aux votes des internautes.
D'autres citations de Montesquieu
Cette citation de Montesquieu : Dieu m'a donné du bien, et je me suis donné du superflu
, fait partie des plus belles citations et pensées que nous vous proposons de Montesquieu.
- Les lois rencontrent toujours les passions et les préjugés du législateur. quelquefois elles passent au travers, et s'y teignent ; quelquefois elles y restent, et s'y incorporent.
- Quand on court après l'esprit, on attrape la sottise.
- Tout homme est capable de faire du bien à un homme ; mais c'est ressembler aux dieux que de contribuer au bonheur d'une société entière.
- La france n'a et n'aura jamais de plus mortels ennemis que les français exilés.
- Dans une nation qui est dans la servitude, on travaille plus à conserver qu'à acquérir. dans une nation libre, on travaille plus pour acquérir qu'à conserver.
Citations similaires :
Dans les citations ci-dessous vous trouverez des citations similaires à la citation de Montesquieu (Dieu m'a donné du bien, et je me suis donné du superflu. ).