Craignez de vous moucher trop fort, de crainte de rendre l'âme.
Explication de cette citation :
Cette citation de Paul Claudel peut être interprétée de différentes manières, mais elle semble évoquer la fragilité de l'être humain. En utilisant l'image du mouchage trop fort, l'auteur met en garde contre une action qui pourrait avoir des conséquences graves, voire mortelles. Il invite ainsi à la prudence et à la modération dans nos actes et nos paroles.
Cette citation est extraite de la pièce de théâtre "Le Soulier de Satin" publiée en 1929.
A propos de l'auteur
Qui est Paul CLAUDEL ? Découvrez sa biographie, ses oeuvres ainsi que ses meilleures citations. Paul CLAUDEL est un poète, dramaturge, essayiste et diplomate français du 20ème siècle. Né en 1868 à Villeneuve-sur-Fère, il a grandi dans une famille d'artistes et de lettres. Très tôt, il se passionne pour la littérature et la musique, et commence à écrire des poèmes dès l'âge de 12 ans. Son œuvre, mélange de spiritualité et d'exaltation de la vie, puise ses inspirations dans sa foi catholique et son expérience personnelle. Au fil des années, Claude produit une immense quantité de textes, dans des genres variés allant du théâtre à la poésie en passant par l'essai et la correspondance. Ses citations sont aujourd'hui célèbres et continuent d'apporter une profonde réflexion sur l'existence humaine. Découvrz dans cette page sa biographie, son oeuvre, ainsi que ses plus belles citations qui témoignent de son talent et de sa vision singulière du monde.
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Cette citation de Paul CLAUDEL : Craignez de vous moucher trop fort, de crainte de rendre l'âme
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- A celui qui souffre, les consolations d'un consolateur joyeux ne sont pas de grand prix, et son mal n'est pas pour nous ce qu'il est pour lui.
- On a souvent parlé de la couleur et de la saveur des mots. mais on n'a jamais rien dit de leur tension, de l'état de tension de l'esprit qui les profère, dont ils sont l'indice et l'index, de leur chargement.
- La crainte de l'adjectif est le commencement du style.
- Une rue, c'est ce qui va quelque part. ça marche de chaque côté de nous comme une procession.
- L'individu à lui seul est un être pauvre, un être facilement vaincu, et il a besoin d'un milieu favorable pour développer ses possibilités. mais la société n'existe que pour l'individu et non pas l'inverse.
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