Paris, le 1 juin 2023.
Chère Anne,
C’est avec tristesse que je m’adresse à toi aujourd’hui. J’ai appris par des amis communs le malheur qui te frappait.
Perdre un enfant provoque une douleur insupportable, une révolte et une incompréhension ô combien naturelles.
Cette nouvelle m’a plongée dans un immense chagrin.
Tu sais à quel point j’aimais Jérémy et à quel point tu comptes pour moi.
Sache que tu n’es pas seule dans cette épreuve et que tu peux compter sur mon soutien inconditionnel.
Je ne manquerai pas de venir voir comment tu te portes régulièrement. Beaucoup de personnes pensent à toi. Ne perds pas espoir !
Affectueusement.